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Combien un humain a-t-il d'oeil ? (ex: 1)
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Agents Conversationnels pour IRC - Intelligence Artificielle

 

Le canal IRC #I.A.

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Information - Canal IRC

02
Octobre
2010
  • Quel est le but du salon #I.A. ?

 

Ce salon de discussion a pour but de réunir des passionnés de "robots parlants intelligents" (communément appelés "chatterbots"). Plus précisément, il s'agit de simulateurs de conversation dédiés aux messageries instantanées, et en particulier au protocole de communication textuelle IRC.

 

Nous avons naturellement choisi IRC qui est un protocole très bien adapté à l'interaction homme-machine via l'échange de phrases, à la manière d'un test de Turing.

 

Certains robots "apprennent à parler" en observant l'activité du salon (comme Seeborg, MegaHAL ou Benzo), d'autres nécessitent qu'on leur adresse la parole ou qu'on leur parle en privé. Tous utilisent des algorithmes plus ou moins complexes dont nous pouvons comparer en temps réel, jour après jour, l'efficacité.

 

Bien sûr, nous ne prétendons pas donner à des machines la faculté de "penser", nous nous efforçons seulement de les rendre (très ?) fortes au jeu de l'imitation...

 

Pour résumer, ce salon où cohabitent des développeurs et leurs chatterbots a pour objectif de développer/tester des systèmes capables d'apprendre à imiter le comportement humain lors d'une discussion.

 

Certains vieux projets comme ALICE ou MegaHAL sont améliorés tandis que d'autres plus récents comme ECTOR ou Jessica sont toujours en développement.

 

Rejoignez-nous sans plus attendre sur le t'chat faire la connaissance de ces plus ou moins sympathiques entités artificielles et connectez-y votre bot parlant si vous en possédez un. Nous pourrons ainsi comparer les techniques utilisées, améliorer les algorithmes etc.

 

(Si votre bot ne peut pas se connecter sur IRC nous pouvons essayer de vous aider à le faire.)

Bras artificiel
C'est dingue !

Tchat IRC with chatterbots.

Tchat avec nous !

 

  • Quelles sont les règles du salon #I.A. ?

 

Le salon #I.A. est modéré (surveillé) par les bots Melinda et Golemme.

Les bases de données des bots connectés évoluent en fonction de l'activité du salon, il est donc primordial de veiller à son bon fonctionnement pour ne pas les "endommager". C'est précisément le rôle des bots Melinda et Golemme de veiller au respect de quelques règles dont la plus importante est le respect de la langue française (pas de langage type « SMS », vérification de la conjugaison etc).

 

Mise à jour le Mercredi, 24 Novembre 2010 12:47
Écrit par Administrator

 

Les opérateurs

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Information - Canal IRC

28
Octobre
2010
Le penseur.

Un opérateur a le contrôle et régule l'activité du canal. Il peut exclure (ban) quelqu'un, expulser de manière ponctuelle (kick), changer les modes du canal, son sujet (topic) ... Les pseudos des opérateurs du canal sont précédés d'un @ (arobase).

 

Le salon est modéré par les bots Melinda et Golemme mais également les personnes suivantes. Cette liste évolue quotidiennement, il suffit d'être intéressé par le sujet et de savoir écrire correctement pour être opérateur sur le salon.

 

@GjMan9, propriétaire du salon (owner), co-administrateur du site, développeur de Jessica et Melinda.


@ALIEN57, co-propriétaire du salon (aop) et administrateur du site.


@H_I, développeur de ECTOR et de Achille (devenu Patrocle).

 

@Coincoin

 

@Marc

 

Le salon est hébergé sur le réseau IRC Epiknet.

Mise à jour le Mardi, 16 Novembre 2010 00:09
Écrit par Administrator

   

Qu'est-ce qu'un chatterbot ?

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Connaissances - Chatterbot

16
Novembre
2010

 

Les machines avec lesquelles vous pouvez discuter sur le salon de t'chat #I.A. sont des "chatterbots", ou "agents conversationnels".

 

Un agent conversationnel est un agent qui dialogue avec un utilisateur. La recherche sur cette Interface Homme-machine est influencée par la compétition sur le test de Turing (1950) : donner l'illusion qu'un programme pense par un dialogue sensé. Un utilisateur est invité à formuler sa demande en langage naturel, elle est affinée par un échange convivial, dont le logiciel interprète une requête opérationnelle pour son système d'information. Un agent conversationnel peut en plus rechercher l'Effet ELIZA. ELIZA, un des premiers chatterbots, simulait un psychothérapeute rogérien, plusieurs personnes en seraient devenues dépendantes sur le plan émotionnel. Les agents conversationnels débordent donc la recherche ou le divertissement, ils mettent en œuvre des connaissances linguistiques, psychologiques, et bien sûr informatiques.

HAL ----

Sommaire



Méthode

Un chatterbot est un programme (robot) qui tente de converser avec une personne durant quelques minutes ou plus en donnant l'apparence d'une conversation avec un humain. Il est vrai qu'une bonne compréhension de la conversation est nécessaire à la tenue d'un dialogue sensé, mais la plupart des chatterbots ne s'y essayent pas. Ils repèrent plutôt les mots-clés ou les expressions de leur interlocuteur pour retrouver des réponses préparées ou calculées à l'avance et qui peuvent mener la conversation plus loin d'une manière plus ou moins intelligente, mais sans nécessiter de comprendre de quoi ils parlent.

 

Historique

Les premiers chatterbots ont été ELIZA, PARRY, et SHRDLU.

ELIZA fut créé en 1966. Elle avait été créée par Joe Weizenbaum, du Massachusetts Institute of Technology (MIT), et ne prenait que 3 pages en langage SNOBOL. Elle faisait grand usage de la technique de l'écholalie.

  • Elle commençait par poser une question neutre (Bonjour. Pourquoi venez-vous me voir ?) à la personne testée, puis analysait à chaque fois la réponse pour tenter de reposer une question en relation avec celle-ci.
  • Si une question lui était posée, elle demandait pourquoi on lui posait la question
  • Si une phrase contenait le mot computer, elle demandait : Dites-vous cela parce que je suis une machine ?
  • etc.

Des concours de chatterbot sont organisés chaque année pour promouvoir l'émulation dans ce domaine. Actuellement, on assiste à la naissance de nombreux chatterbots, en partie grâce au Prix Loebner, qui essaye d'être une sorte de test de Turing. Lors de ces concours, afin d'évaluer les chatterbot, le jury peut dialoguer soit avec un humain soit avec une chatterbox à travers une interface clavier/écran. Au bout d'un certain temps, le jury doit évaluer si le candidat testé est une machine ou pas.

Les chatterbots les plus audacieux sont ceux qui tentent d'extraire des connaissances de leurs conversations comme ECTOR (en anglais, learning bots), mais ce sont aussi ceux dont les résultats sont actuellement les moins impressionnants.

 

Applications commerciales

Depuis quelques années, les agents conversationnels fleurissent sur internet et les sociétés qui en profitent sont maintenant légions. Le support client et le télémarketing sont les cibles privilégiées de ces nouveaux venus du web[1].

Ansi depuis 2009 la société SmartAction propose un agent conversationnel ; uniquement anglophone pour l’instant; pour le télémarketing, les hotlines et d’autres applications téléphoniques. Selon ses concepteurs le système est capable de remplacer un opérateur humain dans de nombreux cas. Il travaille par apprentissage, est capable d’une vrai compréhension du dialogue et peut répondre précisément et rapidement à des questions ouvertes.

La société VirtuOz propose aussi depuis 2005 une vaste solution d'agent présent sur de nombreux sites.

Cependant, il faut noter que ces agents-là ne veulent pas leurrer les utilisateurs, ils sont spécialisés dans un sujet particulier (vente d'un produit particulier, support client d'une entreprise particulière) et se contentent simplement de recentrer la conversation dès que celle-ci s'en éloigne. Ils sont néanmoins dotés, dans la plupart des cas, d'un protocole social qui les rend plus "humains".

 

Pièges

Voici quelques pièges (souvent faciles à déjouer) grâce auxquels le jury peut deviner si le candidat est une chatterbox ou non :

  • Demander combien fait 7x410/4.3 : si le candidat répond trop vite, il ne fera aucun doute qu'il est une chatterbox. Mais la plupart des chatterboxs simulent justement des temps de réflexion variables.
  • Tenter de provoquer une réaction en déclarant quelque chose d'incroyable, bien que la réponse évidente soit : Pourquoi changez-vous brusquement de sujet ?
  • Demander (par exemple) ce qui d'un avion à réaction ou de l'index de l'utilisateur est le plus gros. Un chatterbot ne réussira pas à répondre alors que c'est évident pour un candidat humain.
  • Faire appel à de la perception visuelle, par exemple "Si je retourne la lettre W, quelle autre lettre obtiens-je ?"

Techniques pour leurrer le jury
  • Essayer de simuler un suivi de conversation.
  • Être très imprévisible.
  • Éviter les questions incomprises : par exemple, en répondant "patientez quelques instants, il y a quelqu'un à la porte".
  • Séduire l'utilisateur avec l'interface féminine.


Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Agent_conversationnel

Mise à jour le Mercredi, 17 Novembre 2010 23:32
Écrit par GjMan9

 

Un peu de théorie

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Connaissances - IA

15
Novembre
2010

Les chatterbots sont une des applications de l'Intelligence Artificielle (IA).

 

INTELLIGENCE ARTIFICIELLE

L'intelligence artificielle est la faculté de reproduire un " raisonnement " par des moyens informatiques. C’est l’ordinateur qui pense… pour reconnaître, s'adapter à des situations… comme le ferait un être humain.

Trois méthodes par l'exemple


On peut distinguer trois niveaux possibles de " raisonnement " ou plutôt trois méthodes utilisées en intelligence artificielle. Prenons l'exemple du jeu de dames:

1) ALGORITHME: Avant chaque mouvement de pièce, le programme explore tous les cas possibles. On peut, au prix d'une certaine complexité, y ajouter des tests pour éviter d'explorer des cas de figures très probablement perdants. Le but étant de diminuer le nombre des calculs qui, ici, et pire au échecs, sont trop nombreux pour être calculés en un temps raisonnable.

2) EXPERT: On pourrait enregistrer dans une base de connaissances, un grand nombres de parties connues. Si le système reconnaît une de ces parties, il joue les coups enregistrés. On voit bien ici que l'algorithme déroule "bêtement" l'exploration de tous les coups permis. Avec le système expert, comme son nom l'indique, une bonne dose de connaissance du jeu a été introduite. Ça n'est plus une simple mécanique en action, mais l'utilisation de règles de déduction basées sur la forte connaissance des spécialistes humains.

--> Ca te fait peur ?
3) NEURONIQUE: La méthode neuronique est l'apprentissage en jouant des parties et en tentant de mémoriser les différences entre-elles et de trouver les caractéristiques de chacune. La machine se bonifie à chaque partie. L'homme en face ne sait pas très bien ce que la machine mémorise pour arriver au résultat. Mais ça marche! Aucune expertise n'est apportée, sinon par mimétisme du joueur en face de la machine. Et encore! On a conçu des machines neuroniques qui jouaient entre elles. Un programme de sélection récompensait les plus fortes et éliminaient les plus faibles. Par auto adaptation restait une seule machine qui s'est révélée très performante. Conclusion Les trois manières de trouver une solution sont très différentes et s'appliquent à des cas d'application différents. Elles sont complémentaires.

Trois méthodes par l'explication

Les ordinateurs sont devenus de plus en plus puissants, mais ils ne permettent pas de toujours résoudre tous les problèmes. La matériel n'est peut être pas en cause. C'est le logiciel qu'il faut améliorer La construction de logiciels s'appuie sur plusieurs approches:

- L'approche basée sur des recettes Procédure pas à pas ALGORITHME

- L'approche basée sur la connaissance qui peut être

* Injectée Bases de connaissances EXPERT
OU
* Apprise Auto-apprentissage NEURONIQUE

Une approche algorithmique nécessite l’écriture du processus à suivre pour résoudre le problème puis sa transcription en un programme. Lorsque le problème est complexe, ce peut être une étape coûteuse ou impossible. D’autre part, les ordinateurs sont des machines complètement logiques qui suivent à la lettre chacune des instructions du programme. C’est un avantage lorsque tous les cas ont été prévus à l’avance par le développeur de l'algorithmique. La seconde approche possible est celle de l’intelligence artificielle (IA), avec pour application la plus connue les systèmes experts. Ici, la résolution du problème est confiée à un ensemble de règles données par l’expert humain du domaine. Il n’en demeure pas moins que toutes les règles doivent avoir été exprimées préalablement au traitement, et que le programme demeure binaire dans son exécution. Les cas qui n’ont pas été prévus par l’expert ne seront pas correctement traités. L’introduction de la logique floue ne change pas la nature des limitations d’emploi du programme : l'exécution reste totalement déterministe.

L’approche basée sur la connaissance s'applique là où la modélisation de la connaissance est possible, sous forme de règles, par exemple:
Pour les sciences "exactes": l'électronique, la mécanique, la physique, etc. La connaissance y est explicite.
Et non les sciences dites "humaines": la médecine, la psychologie, la philosophie, etc. La connaissance y est empirique

La troisième approche relative au traitement automatique de l’information Les deux approches indiquées ne suffisent pas pour de la reconnaissance de formes, du diagnostic, du contrôle moteur, de la traduction automatique, de la compréhension du langage etc.
Pour cette troisième approche on cherche à s’inspirer du traitement de l'information effectué par le cerveau.
En effet, la structure du système nerveux, les mécanismes mentaux, les processus neurophysiologiques l'architecture du cerveau sont à la base du développement d’un comportement intelligent. Les réseaux de neurones artificiels tentent de reproduire ce comportement.

Démarche ascendante ou descendante

DESCENDANTE: Robots ou automates programmés pour faire quelque chose Ne font que ce qu'on leur a injecté comme instruction Ils reflètent les idées et al logique des humains L'école descendante soutient que l'esprit est comme un programme d'une immense complexité dans un ordinateur Turing, avec sa machine, a saisi l'essence mathématique de la machine à calculer universelle.

ASCENDANTE: "Insectes" de Brooks qui se débrouillent par essais et erreurs; par apprentissage et, sélection des plus adaptés Ils peuvent donner naissance presque sûrement à de l'inattendu Hopfield pense que l'intelligence pourrait naître de la théorie quantique d'atomes stupides sans aucun programme d'aucune sorte Sa théorie: tout comme le solide quantique minimise son énergie, un circuit de réseau de neurones, lui aussi, doit minimiser son énergie Hopfield a découvert l'une des lois universelles des réseaux de neurones.


HISTORIQUE

Marvin Minsky est le père de l'IA MIT (Massachusetts Institute of Technology)
Il a écrit le livre: "La société de l'esprit"

Quelques jalons :
Bot en mousse. 1900 David Hilbert recense 23 problèmes non résolus, dont celui de la décidabilité à la Conférence internationale de mathématique à Paris

1917 Karel Capek, dramaturge tchèque, donne le nom de robot à des machines intelligentes

1931 Kurt Gödel publie son théorème sur l’incomplétude

1936 Alan Turing adresse les notions de décidabilité

1940 Norbert Wiener introduit les automates : systèmes auto régulés avec boucle de rétro action 1943 § Premières études sur les neurones formels

1944 Début des ordinateurs, basés sur les idées o de Turing, et o de von Neumann

1945 ENIAC – Premier ordinateur

1949 1950 Donald Hebb explique les phénomènes d’apprentissage § Alan Turing publie Computing Machinery and Intelligence qui marque le veritable début de l'IA

1955 Premiers langages d’intelligence artificielle

1956 Première utilisation officielle de l’expression " Intelligence Artificielle " à la Conférence de Dartmonth College

1957 Rosenblatt invente le perceptron, ancêtre des réseaux de neurones

1961 Cybernétique de Wiener

1971 Début des microprocesseurs avec les circuits intégrés d’Intel »

2000 La SWARM INTELLIGENCE – L'intelligence de l'essaim: discipline qui parie que les petits organismes artificiels du futur auront la capacité de créer ensemble une intelligence collective à la manière des fourmis d'aujourd'hui
LA SMART DUST – poussière intelligente ou réseaux de microprocesseur microscopique répartis. Chacun captant une grandeur dans son environnement et la communiquant à son voisin pour l'acheminer à un organe central reconstituant la cartographie de la grandeur Applications: cartographie thermique des forêts – prévention des incendies, cartographies des polluants, détection de vibrations - alarmes dans les zones sismiques, suivi des marchandises dans les magasins, surveillance des biens et des personnes, suivi des fantassins sur le champ de bataille, exploration des planètes.

Source: http://villemin.gerard.free.fr

Mise à jour le Mercredi, 17 Novembre 2010 22:39
Écrit par GjMan9

   

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